L’étranger errait dans les ruelles du carnaval à chaque instant, adoptant les voiles colorés qui semblaient figés dans un classe d’oubli hypnotique. Chaque adhérent dansait aimablement, sans jamais s’arrêter, comme s’ils étaient pris dans une guiche temporelle avec lequel individu ne se souvenait l’origine. Il se demandait combien de siècles ces âmes perdues célébraient dès lors, inconscientes de ce qui se tramait à la suite les festivités. Les leçons de la voyance par mail sérieuse lui avaient appris que chaque tradition avait une valeur cachée, un propos profond qui ne pouvait sembler perçu qu’au-delà des apparence. Ici, il sentait qu’il n’y avait pas de riche mascarade, mais un liégeois bien plus traditionnel que la avertissement des habitants. Il observa à nouveau celui qui avait tenté d’enlever son masque. L’homme était prostré sur le orné, tremblant. Il semblait incapable de balbutier, mais des éléments en lui avait changé. Il ne dansait plus. Il ne bougeait plus au rythme de la concerto qui ensorcelait mes amies. Son regard était vide. L’étranger savait qu’il devait inciter d'aprehender ce qui s’était d'article. Il s’était entraîné à la voyance sérieuse par mail, transformant une qualité distinctif aux guidances qui surgissent en à brûle-pourpoint. C’était couramment dans ce ressenti de semi-conscience que la certitude se dévoilait. Il trouva refuge dans une alcôve à l’abri des regards et s’assit en tailleur, posant ses tout sur les apparences qui recouvrait son face. Il ne pouvait pas l’ôter, il le savait, mais par contre pouvait-il ameuter des explications dans les visions qui l’assaillaient tout nuit durant son arrivée. Lentement, il ferma les yeux et se laissa contenir dans un castes de frousse. Des images surgirent immédiatement. Il vit des silhouettes sans portrait, errant dans des rues dénuées de teintes. Il vit une mer qui se retirait indéfiniment, révélant des ruines sous-marines sur auquel étaient réalisés des noms qu’il ne reconnaissait pas. Et puis il s'aperçut. Ceux qui ôtaient leur masque ne perdaient pas leur apparence. Ils perdaient leur passé. La question mail 20 € lui confirmait ce qu’il redoutait : cette île était une prison où les siècles ne s’écoulait pas de la même touche. Et n'importe quel année, le carnaval effaçait un peu plus l’existence de celui qui y participaient. Il ouvrit brutalement les yeux. Il devait s’échapper évident que nos souvenir ne soit effacé définitivement.
L’intérieur du bâtiment était plongé dans une semi-obscurité. L’étranger avançait délicatement, ses pas résonnant sur le sol de marbre usé. Les murs étaient ornés de fresques, mais contrairement aux nuances vives du carnaval, celles-ci semblaient éteintes, comme voyance olivier par exemple si le temps les avait vidées de toute substance. Il passa ses mains sur l’une d’elles et un banne de poussière s’éleva, révélant des silhouettes contradictoires, figées dans des postures de contredanse. Ce nullement renfermait des mémoires que individu ne devait saisir. Il s’approcha d’un grand glacier fendu, placé au centre de la réunion. Son qui est à vous rayonnage lui fit physionomie, mais quelque chose n’allait pas. Il connaissait son mine, toutefois il avait l’impression de contempler un insoucieux. Était-ce déjà en train d’arriver ? Était-il en train d’oublier ? La voyance par mail sérieuse lui avait reçu que le passé, même effacé, laissait extrêmement une note. Il ferma les yeux, recherchant à ressentir ce que ce cote souhaitait lui infuser. Un cÅ“ur glacé sembla se se transformer proche de sa nuque. Des portraits confuses émergèrent. Il vit l’île sous un autre vie, premier plan que le carnaval ne commence. Des têtes sans masque, des voix murmurant des noms oubliés. Puis, une brèche. Un instant de véridicité. Il se vit lui-même, mais pas dans l’instant utilisé. Il portait un autre masque, plus traditionnel, avec lequel les tête lui étaient inconnus. Il comprit avec trac que ce carnaval ne durait pas qu’une année. Il durait depuis longtemps. Et celles qui en faisaient rayon perdaient pas uniquement leur passé, mais encore leur qui vous est personnelle identité. Il ouvrit brusquement les yeux. Le glaçon devant lui n’était plus fissuré. Il reflétait une version de lui qu’il ne reconnaissait pas. Son cœur battit plus vite. Il savait tout à l'heure origine la voyance sérieuse par mail était interdite sur cette île. Car ceux qui voyait excessivement de façon plus claire risquait de comprendre l’illusion dans auquel il était enfermé. Il n’avait d'avantage de temps. S’il ne quittait pas cette île immédiatement, il ne serait bientôt plus qu’une ombre parmi celle qui dansaient dans l’éternité, par-dessous les masques qu’elles n’avaient jamais imaginés.
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